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"La Perruque du vieux Lénine est une tragi-comédie qui renoue explicitement avec le théâtre baroque. À la différence de L'Entrée dans la baie et la prise de la ville de Rio de Janeiro en 1711, les personnages sont ici nommés. Ce texte qui mêle le vers libre, la prose et l'alexandrin a une visée politique. On peut le lire comme un drame de la jalousie, de l'attente ou de la folie. Il met en scène, entre autres, Lénine – coiffé d'une perruque – et quatre ouvriers discutant du rêve, de l'amour et de la révolution avec un jeune poète. Comment en finir avec la terreur d'être différent et par là séparé, croit-on, des autres ? J'allais dire, je dis encore, par le socialisme. Je sais : l'ordre moral règne sur les mondes capitalistes et socialistes, apparemment ici réunis, quoique sur des modes différents. La morale petite-bourgeoise traverse aussi la classe ouvrière. Mais faut-il en conclure qu'elle y trouve refuge comme dans un bastion où la pourriture et la décadence bourgeoises viendraient l'assiéger ? Cette "morale" mourrait ailleurs et ne se rendrait pas grâce à nous? Je le répète : la liberté ne se divise pas. Et les textes du Code pénal soviétique n'ont rien à envier à l'arsenal juridique des pays dits libres. Qu'est-ce que le socialisme sans la liberté d'aimer?' Jean Ristat.