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Corren vientos de cambio en el mundo y también en la escuela; vientos que comenzaron a soplar en los años ochenta, cuando Margaret Thatcher y Ronald Reagan lanzaron lo que no ha de haber ningún empacho en calificar de revolución. Una revolución neoliberal y conservadora, rendidora de culto al dios del mercado y a la jibarización y, a la postre, desaparición del Estado del bienestar que, décadas después de su estallido, sigue ganando batallas en todo el mundo y en todas partes. Todo lo reconfigura este vendaval neocon a su imagen y semejanza e incluso al sujeto, convertido en empresario de sí; y parte fundamental de su estrategia ha sido infiltrarse también en la educación a fin de perpetrar su ingeniería social a través de ella. Sobre ello versa este libro escrito desde una juiciosa indignación y que nos habla de libros de texto para pequeños emprendedores, de prepúberes enseñados a especular con figuritas de plastilina, de una cultura del esfuerzo que es el nombre socorrido para el regreso de métodos autoritarios y la instauración de un nuevo darwinismo social, de la privatización del fracaso y la individualización de la culpa, de una educación para la autoexplotación y la uberización, y también de los intentos conservadores de abrir las puertas de los colegios a los militares y los obispos. Nos terminará diciendo el autor que «no podemos seguir siendo indiferentes ni obedientes ante esta revuelta educativa que promueve un modelo social y educativo basado en la crueldad, en la insolidaridad y el egoísmo, en el saqueo del bien común, en la intolerancia y el racismo» y que «nos jugamos el futuro de nuestros hijos e hijas, y el de la sociedad en su conjunto. Educación o barbarie: no hay neutralidad posible».