« Ô capricieuse marraine,
Vers quels horizons merveilleux
La fortune me mène !
Je vis mes derniers jours de gueux.
J'épouserai tantôt la belle Pimprinule
Et à n'en pas douter deviendrai bientôt Roi
Me faisant tout de go en or les testicules.
J'irai le coeur léger me vautrer dans la soie ! »