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Avec sa prodigieuse érudition, s'inspirant des textes jusque-là inconnus ou rares, Piero Camporesi - qui s'est déjà illustré comme le subtil ethnologue de nos sensibilités - ajoute, avec ce livre délicieux, un nouveau chapitre à l'histoire des mentalités. La société du XVIIIe en mouvement qu'il y évoque semble impatiente d'enterrer l'héritage des siècles sauvages qui l'ont précédée et d'élaborer un mode de vie plus aérien, plus {civilisé}. Le goût "réformé" met alors en avant la cuisine légère, rationnelle, d'où sont bannis la viande faisandée et lourde, les goûts forts ou socialement grossiers et les condiments trop vigoureux. C'est la cuisine de l'esprit qui l'emporte désormais sur celle du corps. Elle s'adresse à des individus qui se veulent sveltes et vifs, à des dames délicates, noctambules, gourmandes et non goulues, conversant jusqu'à pâmoison dans des salons littéraires où l'on savoure {le goût du chocolat}.