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Entre les îles d’Ouessant et le Raz de Sein, d’amples houles gonflent la mer d’Iroise. Çà et là, des écueils cernés de collerettes d’écume semblent aux aguets, dans les tourbillons creusés par les courants. On songe que dessous, des bateaux naufragés couchés sur le flanc, chevelus d’algues, se désagrègent lentement dans la nuit verte des abîmes. Le plus terrifiant de ces écueils, les Bretons le surnomment Roc’h an Diaoul, la Roche du Diable. Ils disent que Satan lui a donné le pouvoir d’attirer les vaisseaux. Malgré les avertissements et les signes du destin, un phare sera pourtant érigé sur cet îlot maudit. Les drames vont s’y succéder. Dans la colonne de granit battue par les tempêtes, s’exacerbent les passions et les désirs inavouables. La solitude et la folie libèrent les instincts, dans les superstitions et les sortilèges. Alors, la mort étend son ombre maléfique, et lorsque les derniers rayons du soir le colorent de rouge, le phare se dresse, sinistre, comme une pique ensanglantée. L’histoire est hallucinante du phare de Roc’h an Diaoul. Avec ce cadavre que la mer ramène à chaque marée, comme un remords. Avec la jeune anglaise naufragée recueillie par les gardiens, avec la vengeance impitoyable des oiseaux de mer, dans le rire fou du Diable et les sanglots des trépassés. Magistralement écrit, ce récit somptueux vous passionnera. Longtemps, il vous fera rêver.