Le Protocole Méridien est un thriller à suspense qui se déroule à l'échelle mondiale et dont l'intrigue commence par un événement unique et effrayant : une panne d'électricité coordonnée à l'échelle mondiale. À Paris, les lampadaires s'éteignent. À Lagos, les marchés tombent dans le silence. À Singapour, le centre financier est paralysé. Il ne s'agit pas d'une simple panne de courant, mais d'une attaque sophistiquée qui menace de détruire des infrastructures essentielles, de faire dérailler les élections et de plonger le monde dans le chaos.
Au cœur de la crise se trouvent quatre individus, chacun maître dans son domaine, qui sont sans le savoir les pions d'un jeu mortel. À San Francisco, Nova Li, une ancienne analyste de la NSA hantée par son passé, reconnaît le fantôme numérique d'un échec passé et se lance à sa poursuite. À Lagos, Kofi Adewale, un dépanneur pragmatique dans le domaine des télécommunications, est témoin de l'impact dévastateur de la panne sur sa communauté et met à profit ses connaissances sur le terrain pour riposter. À Buenos Aires, Elena, une journaliste d'investigation acharnée, découvre le coût humain de cette panne en suivant une piste qui mène à une conspiration touchant les plus hautes sphères du pouvoir. Et dans l'ombre de Singapour, Omar, un mystérieux courtier en données, détient la clé du puzzle, qu'il est prêt à vendre au plus offrant.
Contraints de former une alliance fragile, ces personnages hétéroclites doivent remonter la piste à travers les continents, des ruelles de Moscou aux couloirs raffinés de l'ONU. Ils ne se battent pas seulement contre un ennemi invisible dans le code, ils sont aussi dans une course contre un architecte brillant et impitoyable qui a transformé le monde en échiquier. À mesure qu'ils dévoilent les différentes couches de la supercherie, ils réalisent que le protocole Meridian est plus qu'une arme, c'est une philosophie du contrôle. Pour l'arrêter, ils doivent surmonter leur méfiance profonde les uns envers les autres et affronter la vérité : dans un monde lié par un réseau numérique, la plus grande menace n'est pas la machine, mais la personne qui tire les ficelles.

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