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Les Assises du socialisme se déroulèrent à Paris les 12 et 13 octobre 1974 à l’hôtel PLM Saint Jacques, dans la foulée de l’élection présidentielle de 1974 où François Mitterrand avait été le candidat commun de la gauche et avait rassemblé 49,19 % des voix. Cette démarche s’inscrivait dans le prolongement du congrès d’Epinay de 1971 qui avait certes vu le rassemblement de différentes chapelles socialistes au sein d’un même parti, le Parti Socialiste, mais sans pour autant réunir l’ensemble de la gauche, notamment celle que l’on n’appelait pas encore la « deuxième gauche » et à fortiori des représentants du mouvement syndical et social. Cette tentative d’unification s’avéra beaucoup plus chaotique que prévue, tant des résistances, soucieuses de leur autonomie, s’exprimèrent au plan politique (PSU) comme au plan syndical (CFDT). Cinquante ans après, alors que certains parlent de « gauches irréconciliables », il est intéressant de regarder ce qui demeure de cet héritage.