Le théâtre est monstrueux. Écrire du théâtre est un accouchement de monstres car celui qui accouche est lui-même un monstre. Comme le suggère la racine latine du mot, « monstre » est celui qui montre : découvre, démontre, dénude, expose, indique, illumine, fait apparaître et connaître, signale, démasque, passe du paraître à l'être et rend être le paraître.