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Pour la première fois Markus Wolf, « l’homme sans visage », le légendaire chef du HvA, le service d’espionnage de l’ex-Allemagne de l’Est, qui servit de modèle à John Le Carré pour « Karla », se livre tout entier. Il raconte son enfance, la fuite face à la montée du nazisme, son adolescence à Moscou dans les années trente, à l’apogée du stalinisme, sa préparation en 1942 à l’école du Komintern, ses premières missions dans le Berlin libéré des nazis, grouillant d’agents secrets de toutes nationalités. Il dévoile comment et pourquoi s’est constituée en 1951 la première organisation d’espionnage de RDA et surtout comment il dirigea pendant plus de trente-cinq ans le service de renseignement considéré comme le plus efficace du monde. Autobiographie « subjective », le récit de Markus Wolf permet aussi de comprendre de l’intérieur certains des événements les plus importants de notre histoire contemporaine : la guerre froide, le blocus de Berlin en 1948, la révolte des ouvriers de RDA en 1953, le XXe congrès du PCUS, la révolution hongroise de 1956, l’érection du mur de Berlin en 1961, l’intervention des troupes du pacte de Varsovie à Prague en 1968, la victoire de Solidarnosc et le coup d’État du général Jaruzelski en Pologne. Il éclaire d’un jour nouveau l’histoire de la perestroïka et des « révolutions douces » en Europe de l’Est et centrale. Au cœur de ce livre, il révèle comment il a mené à bien quelques-unes des principales affaires d’espionnage de la guerre froide. Il dévoile pour la première fois les détails de l’affaire Guillaume qui fit chuter Willy Brandt en 1974, les dessous de l’espionnage scientifique et ses méthodes de désinformation. Il raconte comment il a réussi à infiltrer au plus haut niveau les institutions de l’État ouest-allemand et de l’OTAN, et ses rapports de travail avec le KGB. On le suit dans son « jeu d’échecs à coups d’agents doubles » avec le contre-espionnage de RFA ; on est avec lui à Zanzibar, à Cuba ou en Angola ; on l’accompagne en Suède lors de missions ultrasecrètes. On apprend tout (ou presque) sur ses méthodes, sur la complexe personnalité de cet homme élégant et séduisant qu’on nomme partout en Occident le « maître-espion », tandis que lui continue à affirmer : « Je ne suis pas un espion. »