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Pris entre les deux blocs - classique et romantique - le XVIIIe siècle a longtemps semblé, en littérature, n'avoir qu'une importance idéologique, et ne jouer qu'un rôle de transition. On redécouvre, aujourd'hui, que ce qui fut « le grand siècle » aux yeux de Michelet, a été une des périodes les plus fécondes en inventions de toutes sortes, tant artistiques, que techniques ou épistémologiques. Les « Lumières » qui, d'ordinaire, le définissent, ont cette vertu de le donner à voir incessamment en positif et en négatif. La question se pose alors, ardente, non seulement de la qualité d'une œuvre mais de son éclat, de sa valeur éclairante, ainsi que, pour les meilleurs esprits, de la part d'ombre qu'elle recèle ou suppose, ce que Valéry désigne comme sa « morne moitié ». Parce que le XIXe siècle a, délibérément, esquivé ou recouvert les questions qu'avait posées le XVIIIe, parce que ceux qui les avaient alors formulées étaient, pour la plupart, de vrais et grands artistes, parce que notre époque sait qu'elle ne peut trouver que dans l'intelligence de la question celle de la réponse, un livre de plus sur le siècle des Lumières n'est pas inutile. Celui-ci, en tout cas, a été conçu et façonné à partir d'un tel pari.