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Dans ses romans, Jonathan Reynolds a toujours raconté les histoires surnaturelles qui se sont déroulées à Bromptonville, son village natal. Pour les rendre encore plus réelles, il a même osé, dans son plus récent livre, se mettre lui-même en scène, avec ses amis d’enfance et d’adolescence… dont la belle Valérie, qu’il croyait vampire. C’est d’ailleurs de cette Valérie, dont il est sans nouvelles depuis des lustres, qu’il reçoit un soir un étrange message. Tout en lui exprimant le plaisir qu’elle a pris à lire un de ses romans, elle souligne une coquille, page 352, où le mot « lune » a été remplacé par « luna »… Or, si Jonathan croit à une simple erreur de frappe, Valérie n’en démord pas : Luna, c’était le surnom d’Élena Dubois, son amoureuse secrète disparue sans laisser de traces en 1999… et puis la fille qu’il décrit dans le même passage est tout aussi blonde que son Élena ! N’ayant aucun souvenir d’avoir écrit cette scène – encore moins de l’amoureuse secrète de Valérie –, Jonathan consulte ses autres romans… et découvre dans chacun la même coquille, la même fille blonde ! Face à sa mémoire qui lui joue de sérieux tours, à ce mystère qui l’obsède, c’est bientôt la sanité d’esprit de l’auteur qui est en jeu, à force de se demander pourquoi diable ne se rappelle-t-il rien de cette Luna qui hante chacun de ses livres.