
Madrid. Un oeil s'ouvre, ce vendredi d'automne à
17h15. Il ne se refermera que le lendemain matin, le
temps de voir dix, vingt, trente personnes passer, revenir,
se connaître, se croiser, se heurter : un cinéaste en
hélicoptère, un traducteur, un policier mélancolique,
une coiffeuse, un baryton fiévreux, des écrivains, une
clocharde...
Et Madrid, qui ne dort jamais.
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