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Studienarbeit aus dem Jahr 2007 im Fachbereich Didaktik - Deutsch - Pädagogik, Sprachwissenschaft, Note: 2,0, Universität Regensburg, Sprache: Deutsch, Abstract: Bei der Betrachtung von Dokumenten des 16. Jahrhunderts sticht die Willkür der Schriftsetzung ins Auge, sodass von einer sprachlichen Einheitlichkeit in der Zeit Luthers nicht die Rede sein kann. Luther war, wie von Jakob Grimm angenommen, nicht der "Erfinder" der neuhochdeutschen Sprache. Ebenso ist Friedrich Kluges Aussage "Luthers Sprache sei seit 1580 zur Norm für unser Schriftdeutsch geworden" unhaltbar. Mit welcher Berechtigung kommen dann Aussagen wie die von Grimm und Kluge zustande? Tatsache ist, dass die Wirkung der Schriften Luthers in dessen Zeit, vor allem die Bibelübersetzung, immens war. Luthers Bibelübersetzung überwand erstmals die damals herrschende sprachliche Uneinheitlichkeit im deutschen Sprachraum durch die Anfertigung einer für alle Sprachregionen befriedigenden deutschen Übersetzung. Mit Hilfe der Erfindung des Buchdruckes wurde Luthers Übersetzung im ganzen deutschsprachigen Raum verbreitet. Infolgedessen wurde die Übersetzung der Bibel von mehr Menschen rezipiert als jedes andere Schriftwerk zuvor. Vor Luther gab es bereits 14 hochdeutsche und vier niederdeutsche gedruckte Bibelausgaben. Als Vorlage dienten vor allem die griechische Septuaginta und die lateinische Vulgata. Luther hingegen übersetzte die hebräischen und griechischen Urtexte und verwendete für seine Bibelübersetzung das ostmitteldeutsche Idiom seiner Heimat, in dem nord- und süddeutsche Dialekte verschmolzen waren. Zwischen 1534 und 1626 wurden allein in Wittenberg knapp einhundert Bibelausgaben hergestellt, die insgesamt circa 200000 Exemplare umfassten. Wenn Luther auch nicht der "Erfinder" der neuhochdeutschen Sprache war, so überdauerte sein Schaffen doch Hunderte von Jahren.