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Walter Benjamin no quiso abandonar Europa cuando el fascismo le pisaba los talones. Tenía que mirar de frente a la barbarie para arrancarle el secreto de su poder. El resultado lo dejó escrito en unos folios titulados «Sobre el concepto de historia» que le costaron la vida. Decía que eran el «armazón teórico» para desentrañar el siglo xx. Frases suyas como «No hay un documento de cultura que no lo sea también de barbarie» o «Para los oprimidos el estado de excepción es permanente», están en todas la bocas, al igual que la imagen del ángel de la historia o la singular partida de ajedrez del muñeco y el enano. Benjamin es uno de los filósofos mayores de nuestro tiempo, aunque más citado que leído o comprendido. El propósito de Medianoche en la historia es adentrarnos en cada frase de sus famosas Tesis para reconstruir ese armazón teórico. No es tarea fácil habida cuenta del carácter fragmentario del escrito y de la proverbial sobriedad expresiva de su autor. «Que nada se pierda», la consigna que él daba al historiador formado en su escuela, es el principio que preside esta lectura de uno de los textos más lúcidos, radicales y conmovedores que hayan sido escritos. Aquellos eran tiempos oscuros que sólo invitaban a organizar el pesimismo. Benjamin avisó de que la lógica de su tiempo llevaba a la catástrofe. Su genialidad consistió en extraer de los desechos de la historia materiales con los que construir un futuro que no fuera prolongación del presente. Esa lección sigue vigente porque la lógica de la historia, pese a la catástrofe, sigue siendo la misma.