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Quel est notre rapport à la fin de vie? Comment la perte et le deuil influencent-ils ce que l’on devient?
Dans «Mes morts jeune», Sylvie Bérard explore la mémoire et le deuil à travers une série de portraits d’êtres chers disparus, qu’elle insère dans une évocation de sa relation avec un ami récemment décédé. Posant d’emblée la question «À quel âge meurt-on jeune?», l’autrice aborde un sujet devenu tabou dans les sociétés occidentales, qui imposent une date de péremption à nos deuils. Elle engage une réflexion méditative sur la manière dont les personnes qui nous quittent marquent nos trajectoires.
Cet essai autofictionnel n’est pas seulement un ouvrage sur la perte; c’est une ode à la mémoire, à l’attachement et à la quête de sens face à l’éphémère.