«De Michel de Ghelderode, la France ne connaît que le théâtre. C'est, pour elle, une œuvre étrange, et même étrangère - un pittoresque flamboyant qui la déconcerte et qui la dépayse.
Or ce qui explique ce théâtre, ce qui le nourrit obscurément, c'est, pour une part, l'histoire d'un peuple et d'un pays, et, pour une autre part, l'univers obsessionnel d'un écrivain qui a reconnu ses phobies dans le chant nostalgique qui berce les survivants de cette région.»
Pol Vandromme