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Manuel García writes men as they are: silent, rough-edged, restless with desire. In these stories, bodies collide, boundaries blur, and lust takes root in the smallest gestures-an accidental touch, a glance that lingers too long, the salt of sweat on sun-burned skin. This is not romance. It is hunger, power, and need.The title story unfolds on a deserted stretch of coast at the end of summer. A man, alone on the naturist side of the beach, notices a stranger in the water. A brush of bodies in the surf becomes a wordless spark. What begins as a casual encounter soon spills beyond the sand, into the shadow of the pines, where the quiet of the forest amplifies every gasp and moan.The sea lapped against our chests as we floated close, our cocks grazing beneath the surface. His hand lingered on my hip. The world around us dissolved into the rhythm of water and breath. Later, on the pine needles, his weight pressed me down, his sweat mixed with mine, and the resin-scented air carried the sound of the waves. I opened to him, completely, as the sun burned through the branches.These stories strip men bare-sometimes literally, always emotionally. They leave you with the taste of salt, the echo of desire, and the knowledge that once a line is crossed, there is no going back.