
Dans Néron rouge, Stefan Liberski dresse le portrait tragi-comique de Néron Favola, un anti-héros loufoque et excessif Le lecteur plonge dans le journal intime d'un homme obsédé par le désir d'obtenir la validation de ses contemporains. Mais cette reconnaissance se révèle hors de portée dans un monde où se redéfinit sans cesse la règle du jeu.
L'écriture de Liberski mêle l'ironie mordante de La Conjuration des imbéciles à la mélancolie acide de Karoo. Elle scrute les obsessions de notre époque et livre une satire incisive, résolument moderne.
Nous publions uniquement les avis qui respectent les conditions requises. Consultez nos conditions pour les avis.