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"On m'appelle Mehdi" est le témoignage d’un toxicomane, homosexuel, prostitué depuis l’âge de douze ans (à Perpignan, Nice et Paris). Mehdi crie son histoire vécue. Il n’hésite pas à tout dire pour mieux prévenir. Il peut aider d’autres jeunes comme lui à se sortir de l’esclavage des dépendances que la rue engendre. L’aveu de Mehdi (qui a aujourd’hui vingt-et-un ans et a été contaminé par le virus du sida) vaut pour sa spontanéité aux accents de vérité nue. Sans céder au sensationnel ou à la manie du “tout récrire” qui, trop souvent, affadit ce que le magnétophone laisse émerger d’essentielles révoltes, "On m'appelle Mehdi" impose son réalisme et réclame l’écoute de tous. En effet, l’enfer de nos villes interroge non seulement toute une jeunesse en mal d’identification, mais encore les parents, éducateurs, psychologues, responsables d’association. Mehdi, avec son franc-parler, nous incite à la prise de conscience collective d’un des problèmes de société les plus inquiétants de cette fin de siècle (intoxiquée de paradis artificiels ?).