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“Pensif” me paraît un mot riche, mais négligé par la pensée. Car être pensif, c’est laisser aller sa pensée en même temps qu’on s’y trouve absorbé. La pensée s’y relâche apparemment, mais elle ne nous lâche pas. Elle évolue au gré en même temps qu’elle est concentrée, mais au gré de quoi qu’on ne saurait dire ? Or qu’est-ce qu’être pensif permettrait de penser, à quoi le penseur ne pourrait accéder ? Il faudra bien s’expliquer néanmoins pourquoi la production littéraire, elle qu’on voit fleurir depuis toujours et partout dans le monde, n’a trouvé pourtant son nom propre de “littérature” qu’au seuil du XIXe siècle, en ouvrant la modernité. Ne serait-ce pas qu’est resté dans l’ombre son propre mode de penser et que “pensif” pourrait exprimer ? En explorant comment pense un roman, un poème, on fera apparaître du même coup un autre universel que l’universel abstrait. Et n’est-ce pas parce qu’elle est pensive que la littérature peut penser vivre qui a tant échappé à la philosophie ? Celle-ci ne pourrait-elle pas s’en inspirer ? F. J.