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Quelque chose cloche est un pseudo livre de philosophie, le second volet de Totem qui était, lui, un pseudo livre d'ethnologie, une tentative de fabriquer une vraie/fausse anthropologie. Les photographies en noir et blanc, toutes du même format (sauf celles qui ouvrent les chapitres), apparaissent de façon régulière, regroupées en 50 diptyques. Ils associent des images plus ou moins figuratives et un motif géométrique, photogramme qui marque à la fois la répétition et la permanence. Les images s'agencent, se répètent donc parfois, mais toujours dans une légère variation, comme est variée la réalité entrevue par les fragments. Analogies, similitudes : les photographies se renvoient les unes aux autres, jouent avec les lacunes, suggèrent, et toujours désignent un monde qui vacille, semblable au fil sur lequel se tient souvent la pensée présocratique, à la fois triviale et poétique, terre à terre et sublime. Les photographies reconstruisent en partie ce qui a été perdu, comme le font les différentes traductions, en ce sens elles sont une traduction de plus. Mais parfois aussi, elles évoquent les choses de façon très littérale. Ainsi, elles créent le réseau des éléments à cataloguer. Pour mieux marquer la confusion et le mélange, les images sont enchassées dans un texte continu qui lui aussi joue avec les variations, les renvois, les recoupements : images et textes se déplient dans un seul mouvement, une seule matière.