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Michael Heigl, der »Höhlenmensch vom Kaitersberg«, steht in einer Linie mit zwei anderen großen bayerischen Sozialrebellen des 19. Jahrhunderts: dem Räuber Kneißl und dem Wildschützen Jennerwein. Schon als Kind war Heigl, der Sohn einer bettelarmen Tagelöhnerfamilie aus Beckendorf, unter ständiger Beobachtung der Gendarmerie. Er arbeitete als Waldhüter, Bauernknecht, Schlosserlehrling und Hausierer, ehe er zum Räuber wurde. Großbauern, Kleriker, Gerichts- und Steuerkassen waren zunächst seine bevorzugten Ziele, sodass er bald zum Volkshelden avancierte. In Ungarn geriet Heigl, der zwischendurch als Wilderer lebte und mit Zigeunern durch Bayern und Böhmen zog, in die Wirren der Revolution von 1848. Zuletzt hetzte ihn ein Aufgebot von 400 Mann wie einen Wolf. Michael Heigl wurde zum Tode verurteilt, zu lebenslänglicher Kettenstrafe begnadigt und 1857 im Zuchthaus Au in München ermordet.