Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Il y a des sujets dont on parle peu, qui effraient et qui génèrent des malaises. L’alcoolisme des femmes fait partie de ces thèmes, de ces enjeux trop peu abordés. L’autrice de S’aimer ben paquetée n’a pas eu peur, quant à elle, de partager publiquement son cheminement vers la sobriété. D’abord par le biais d’un blogue débuté en pleine pandémie, en 2020, et ensuite sur les planches grâce à une pièce de théâtre. Le résultat de ce passage à la dramaturgie est un monologue d’une heure, qui fait état avec humour, franchise, tendresse, vulnérabilité et une absence totale de tabous, de ce que l’alcool, ou son absence, a pu représenter pour l’autrice. Le ton est vif et la langue est belle. Il y a dans l’écriture de Cristina Moscini un rythme et une musique qui donnent envie de scander le texte. Entre fulgurances et chutes, son rapport à l’alcool lui permet de réfléchir à ce qu’être une femme peut signifier, dans les rapports de séduction et de performance qu’elle entretient avec le monde qui l’entoure.