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Sollten Gedächtnis und Aufmerksamkeit steigernde Psychopharmaka auch für gesunde Lernende zugelassen werden? Die bioethische Diskussion um die Nutzung von leistungssteigernden Psychopharmaka für Gesunde wirft viele Fragen auf. Diese Fragen kreisen nicht nur um die gesundheitlichen Risiken, sondern - ähnlich wie im Hochleistungssport - auch um (pädagogische) Grenzen individueller Förderung oder sozialer Gerechtigkeitsvorstellungen. Eine Zulassung derartiger Medikamente und ihrer Einnahme durch Schüler unter den Bedingungen der Leistungskonkurrenz fordert sowohl das pädagogische Selbstverständnis wie auch die Funktionslogik der Schule zumindest heraus. Inwieweit sind gedopte Schüler noch für ihre Leistungen verantwortlich? Ist es gerecht, die Leistungen solcher Schüler mit den Leistungen anderer Schüler zu vergleichen, die solche Mittel nicht eingenommen haben?