Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Alfred Bekker: Patricia Vanhelsing und die Spinnenkönigin
Nebel lag wie grauer Spinnweben über London. In dicken Schwaden war er gegen Abend vom Themseufer heraufgezogen und hatte sich über die ganze Stadt ausgebreitet.
Der Nebel kroch durch die Straßen und erreichte schließlich auch die kleinste Gasse und den letzten Winkel dieser riesigen Stadt.
Es war schon nach Mitternacht, als der Bus an der einsamen Haltestelle Pelton Street hielt. Wie ein großer dunkler Schatten wirkte der Doppeldecker. Mit einem Zischen der Bremsen hielt er an.
Ein einzelner Fahrgast stieg aus.
James McGordon war Mitte dreißig, trug eine sportliche Lederjacke in Kombination mit Jeans. In der Hand hielt er eine Reisetasche. Glück gehabt, dachte er. Gerade noch den letzten Bus gekriegt...
Er hatte einen zweiwöchigen Urlaub in der Karibik hinter sich. Als er aus dem Flugzeug getreten war, war das berühmt berüchtigte englische Wetter für ihn der erwartete Schock gewesen. Inzwischen war er ziemlich durchgefroren. Die feuchte Kühle, die unter dem Nebel herrschte, ging einem durch Mark und Bein.