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Este primer volumen del teatro de Josep Maria Miró reúne las siete primeras obras que alcanzaron importantes premios y el reconocimiento de la crítica y del público. «La mujer que perdía todos los aviones» cuenta la historia de Sara, una «turista profesional» que, a pocas horas de coger el vuelo que la devolverá a su país, ha perdido repentinamente la vista; se acercan a ella dos autóctonos de inquietantes y dudosas intenciones. «Gang Bang (abierto hasta la hora del Ángelus)» nos sitúa en La Luz, un bar de sexo gay donde confluyen clientes habituales y peregrinos católicos; todo se complica cuando se presenta un hombre con la intención de recuperar a su hijo. En «El principio de Arquímedes», el entrenador del grupo infantil de natación abraza y da un beso a uno de los niños que ha roto en llanto porque le teme al agua; este gesto provocará las quejas de los padres y despertará una espiral de sospechas y prejuicios. «Nerium Park» presenta la historia de Gerard y Marta, quienes se han instalado en una nueva urbanización a las afueras de la ciudad; conforme pasen los meses, se darán cuenta de que han sido los primeros y los únicos en llegar. «Humo» relata cómo dos parejas coinciden en el hotel de un país subdesarrollado, confinados tras un estallido de violencia; este encuentro evidencia los frágiles equilibrios de sus existencias y los conduce a una espiral de mentiras y traiciones. En «Rasgar la tierra», Lluís y Raül, quienes han sobrevivido a diferentes crisis laborales, ven cómo su realidad se ve alterada con la aparición de Miquel, quien pondrá en evidencia problemáticas en sus relaciones amicales y profesionales. Finalmente, en «Umbrío», conocemos a Roger y Júlia, quienes descubren que alguien ha entrado a su piso, pero no se ha llevado nada; la pareja vive la situación con inquietud y preocupación, y se pregunta quién y por qué lo ha hecho.