Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Haunting and haunted, The River Won't Hold You interrogates loneliness and loss with quiet insistence. In poems fashioned at the difficult intersection of imagination and experience, Karin Gottshall seeks an uneasy solace in the mysterious gaps between them: "I tell myself I can be content with the pleasures / permitted ghosts," she writes in "Afterlife," "but my body wakes up / leaking saltwater, and won't let my ghost-self be." Poetic structure and the music of language offer a seductive repository for memory, philosophy, and pain. These poems are generous in both their formal approaches and their palettes of sound and silences. But Gottshall never settles for an easy or artificial solution to the questions her poems ask; the beauty of her work comes, instead, from the directness of her gaze and the images that gaze fixes itself upon: "Wide-open, staring eyes of the tiger / I drew and had to destroy because it wouldn't sleep."