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Tirant lo Blanc es una de las grandes novelas de la literatura medieval y uno de los títulos que abre el camino de la modernidad literaria en Europa. Para Mario Vargas Llosa, el autor «es el primero de esa estirpe de suplantadores de Dios -Fielding, Balzac, Dickens, Flaubert, Tolstoi, Joyce, Faulkner- que pretenden crear en sus novelas una realidad el más remoto caso de novelista todopoderoso, desinteresado». Escrita por Joanot Martorell, con la colaboración de Martí Joan de Galba, y publicada en 1490, pronto se tradujo al castellano (Tirante el Blanco) y al italiano. En ella se relata cómo Tirant (Tirante), tras permanecer un tiempo en Inglaterra, donde se adiestra como caballero, regresa a Bretaña. Acompañado del hijo del rey de Francia, decide contrarrestar el asedio que sufre la isla de Rodas de los genoveses y del sultán de El Cairo. Tirant vence también a los turcos, que han invadido Constantinopla, domina el norte de Africa y Persia, se casa con Carmesina, hija del emperador, y es nombrado César del Imperio. Muere cuando regresa a Constantinopla después de una de sus empresas. Martorell plasmaba así el deseo arraigado en todos los pueblos cristianos de su tiempo de liberar Constantinopla del poder de los turcos. En la obra se alternan los episodios sentimentales con los guerreros, los pasajes narrativos con los doctrinales y reflexivos, y el estilo solemne con el coloquial. Un lugar destacado lo ocupan el humor, la ironía, las escenas jocosas y la desenvoltura, que a veces raya en la lascivia con que se narran los amores de los protagonistas y de otros personajes de la corte. Todo lo que ocurre en ella entra en el terreno de lo verosímil y creíble, lo que llevó a Cervantes a escribir en el Quijote: «Por su estilo, es éste el mejor libro del mundo». La traducción de J. F. Vidal Jové fue la primera que se publicó en castellano desde 1511.