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Récit plutôt que roman, bien entendu, le temps de cette dernière "fiction" de Mandiargues n'excède pas un bel après-midi de fin du printemps à Paris. Quoique le personnage masculin y tienne beaucoup de place, le premier rôle est dévolu à une comédienne, à mi-chemin de la courtisane suivant le mot de Baudelaire, qui permet à l'auteur de mettre en scène un theatrum eroticum conforme à son goût, dans une sorte de jardin exotique sous un toit en verrière. Et si la seconde partie du récit fait surgir toute nue du fleuve Seine une certaine Mériem, dont le nom n'est que la forme arabe de l'hébraïque Miriam auquel répondait la comédienne, n'est-ce pas encore l'incarnation théâtrale d'un certain éternel féminin qui, au moyen d'une dague tolédane du XIe siècle, mettra par effusion de sang le point final à l'histoire ?