Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Dans ce récit, dont le titre est emprunté à un vers de Verhaeren, l'auteur nous livre son Comment peut-on être Breton ? Mais, à la différence de Morvan Lebesque ou de Pierre Jakez Helias, ce n'est pas un plaidoyer pour la Bretagne ou pour la province d'hier qu'il écrit, c'est un plaidoyer pour aujourd'hui, et pour l'ailleurs. Un plaidoyer contre les imbéciles heureux qui sont nés quelque part. Un plaidoyer contre ceux qui sont convaincus d'occuper le centre du monde. Hamon nous conte son enfance à Saint-Brieuc, dans l'après-guerre, ses démêlés avec l'école, avec la religion, sa formation politique dans une ville qui fut la première à basculer vers la gauche, ses allers-retours, très tôt, entre la Bretagne et Paris. Et puis le journalisme, l'écriture, l'édition qui forcément se passaient à Paris, et forcément à Saint-Germain-des-Prés. Comment il devient, à l'époque, un Breton saisonnier, un touriste chez les siens, heureux et malheureux à la fois. Puis, la Bretagne, il la retrouve. Sur un bateau de légende, l'Abeille Flandre, un remorqueur de sauvetage. Il devient Brestois d'adoption avec enthousiasme, avec le même enthousiasme qu'il a éprouvé au contact des marins. Il aime Brest, son parfum d'anarcho-syndicalisme. Mais rien à faire: la grande ville lui manque aussi, Paris, Tokyo, New York, et son Trégor natal. Alors il s'installe dans l'entre-deux. Il comprend que ce qu'on a quitté, c'est pour toujours. Il comprend qu'il n'a pas de racines, mais des attaches - fortes, qu'on dénoue, qu'on renoue, qu'on garde mais dont on est libre. C'est un livre de passion, de passion ouverte. La suite, en quelque sorte, de Besoin de mer et de L'Abeille d'Ouessant qui furent des succès - dans la France entière. Hervé Hamon conte ici son rapport à sa Bretagne originelle. Un rapport passionné, passionnel. Mais complexe. Quand on aime, il faut partir et on n'emporte jamais ce qu'on quitte. Il décrit son histoire, son chemin, comment il s'est évadé d'un coeur léger, comment il est revenu avec enthousiasme. La suite de Besoin de mer.