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Últimos días de una casa, publicado en 1958, «es un largo monólogo, o acaso soliloquio, en el cual proyecta la mansión como si fuera un ser vivo. A punto de ser derribada, y desde la evocadora nostalgia de los seres que la habitaron, la casa se contempla a sí misma sobre una perspectiva metafísica, desde una dilatada e interrogadora reflexión. La soledad se cierne en torno suyo y las formas desaparecidas van quedándole igual que cicatrices regadas por el cuerpo». (Efi Cubero en el Prólogo).Esta edición incluye dos cartas inéditas de Dulce María Loynaz.