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Uno, ninguno y cien mil (1924) ?antinovela que se parangona con las experiencias de Proust, Joyce y Svevo? es El difunto Matías Pascal (1904; Losada, 2012). La última novela de Luigi Pirandello es casi la continuación de esta última, veinte años después, pero refinada. El tema del doble y de las máscaras es lo que establece el signo de continuidad. Doble y máscaras son el signo de continuidad, pero habría que aclarar que el tema de Uno, ninguno y cien mil es el de la personalidad, cuando no el de la subjetividad, que si en El difunto Matías Pascal era doble, en el caso de la novela que presentamos se multiplica por ?cien mil?; que es lo mismo que decir ?soy uno por cada uno que me ve tal cual soy?.