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Mit einem "Pop-Verbot" machte die Stadt Stuttgart den Krawallen ein Ende, die 1970 regelmäßig bei Rockkonzerten aufgeflammt waren. Weil es in Sindelfingen und Böblingen geeignete Hallen gab, verlagerte sich die internationale Popkonzertszene dorthin. Ob Status Quo, Fleetwood Mac oder Deep Purple, ob Yes, Kraftwerk, Pink Floyd oder Santana - alle traten hier auf, auch Black Sabbath, Phil Collins, The Police, Leonard Cohen, Johnny Cash, Dire Straits, Nina Hagen, Metallica, AC/DC, Iron Maiden und Queen. "Sindelfingen und Böblingen waren für uns die Rettung", erklärt Popveranstalter Hans-Peter Haag. Zu den Auftritten strömten massenweise Fans aus nah und fern, was die beiden Nachbarstädte in den 1970er und 80er Jahren zu Popmetropolen machte und für Hunderttausende erst auf die Landkarte setzte. "Ist in Stuttgart von Pop die Rede, meint man Böblingen oder Sindelfingen", brachte es die Presse auf den Punkt. Dr. Christoph Wagner, "der beste Kenner der Rock-, Pop-, Blues und Folkszene - nicht nur in Baden-Württemberg" (Prof. Dr. Paula Lutum-Lenger, Haus der Geschichte Baden-Württemberg), zeichnet den Weg nach, wie die Sindelfinger und Böblinger Provinz zu einem Brennpunkt der Popmusik wurde. Dabei greift Wagner weit über eine bloße Lokal- bzw. Regionalgeschichte hinaus. Vielmehr bettet er die Ereignisse in die Entwicklung der Popmusik in Baden-Württemberg sowie Westdeutschland ein und zeichnet gleichzeitig deren Genese in Großbritannien und den USA nach, ganz nach dem Motto: In einem Sandkorn - die ganze Welt!