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This volume is a valuable re-assessment of the Nicaraguan Revolution by a Marxist historian of Latin American political history. It shows that the FSLN ('the Sandinistas'), with politics principally shaped by Soviet and Cuban Communism, never had a commitment to genuine democracy either within the revolutionary movement or within society at large; that the FSLN's lack of commitment to democracy was a key factor in the way that revolution was betrayed from the 1970s to the 1990s; and that the FSLN's lack of rank-and-file democracy left all decision-making to the National Directorate and ultimately placed that power in the hands of Daniel Ortega. Pursuing his narrative into the present, La Botz shows that, once their would-be bureaucratic ruling class project was defeated, Ortega and the FSLN leadership turned to an alliance with the capitalist class.