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Aus dem Buch: " Das Mondlicht glänzt auf der Großmutter weißem Scheitel. Droben in den Lindenzweigen duftet's und blüht's, surrt's und summt's, und streift die Blumensterne herab auf die lauschenden Blondköpfchen. Großmütterchen aber erzählt: "Es war einmal ein Königssohn, der wußte nicht, was die Liebe war. Er lehnte an dem Marmorfenster seines Nordlandschlosses und blickte hinaus in die tanzenden Schneeflocken und fragte sie um Rat, aber die schüttelten die weißen Gesichtchen und stoben davon. Darauf blickte er empor zu den Wolken, die mit mächtigen Flügeln über die Schloßtürme flogen, seufzte tief auf und rief: >Ihr Kinder des Sturmwinds, wißt ihr vielleicht, wo ich die Liebe finde?Ich weiß, wo die Liebe ist!hier oben ist es zu kalt und einsam, hier wohnt nur die Melancholie mit ihren thränenfeuchten Wangen, und der Sturm entblättert die Rose, ehe sich ihr voller Kelch erschloß, die Liebe aber will Glut und Blüten, die Liebe will Licht und Zauberpracht. Komm! Folge mir zur Wiege der Poesie, atme den Duft der flüsternden Musenhaine, bekränze Dein Haupt mit ihrem Lorbeer, und küsse die Lippen, deren Seele ein Lied glühendsten Empfindens ist, blicke empor zu dem leuchtenden Himmelsdom, versinke in dem Auge, dessen Rätselnacht das Geheimnis des Glückes birgt, und Du hast die Liebe gefunden, die Liebe im Glanze des Lichts!