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Eichhorn stellt die Geschichte der Religion in China unter weitgehenden Ausschluss der philosophischen Ideologien und des Mythos dar. Dabei wird die Religion als soziales Phänomen aufgefasst und herausgestellt, welche Funktion sie im chinesischen Volkskörper hat, welche Formen sie in den einzelnen sozialen Schichten annimmt und wie sie sich im Lauf der Geschichte dem geänderten Charakter des Chinesentums anpasst. Auch die Einbrüche fremder Religionen, besonders des Buddhismus und des Christentums, werden berücksichtigt.Der Deus absconditus scheidet aus dem Gesamtbild der chinesischen Religion aus, wie sehr ihm auch das Tao nahekommen mag. Der Gott bleibt, mit Ausnahme des niemals die Mehrzahl des Volkes beherrschenden Tao, völlig im Umkreis des Menschenwesens, ist an dieses gebunden und von ihm abhängig, und es ist konsequent, wenn an seine Stelle schließlich der mit nahezu göttlicher Macht ausgestattete Mensch tritt und wie ein solcher Gott verehrt wird. An die Stelle des verpflichtenden Glaubens, der die Menschheit neu schaffen könnte, tritt der alle Teile der Gesellschaft durchdringende Zwang.Viel zu dieser Entwicklung beigetragen hat der von den Konfuzianern begünstigte Ritualismus, der aus den mit Leben erfüllten Vorgängen leere Zeremoniale machte, die jeder mit irgendeinem Sinn erfüllen konnte. Da auch das Christentum den Chinesen vornehmlich als Art des Ritualismus präsentiert wurde, hatte der Maoismus auf der ganzen Linie ein relativ leichtes Spiel, die gesamte Religiosität in seinem Sinn umzulenken.In vielen Punkten weicht das Buch von den bisherigen Darstellungen ab, etwa in dem Versuch, dem Staatskult, der sich erst allmählich durchsetzte und auch dann noch Wandlungen unterworfen war, eine zentrale Position zuzuweisen.