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Das vorliegende Buch betrachtet die Krankengeschichte des deutschen Kaisers Friedrich III. unter dem Blickwin-kel eines HNO-Arztes mit langjähriger Berufserfahrung. Dabei kam es darauf an, den Gesamtverlauf zu betrachten und nicht nur auf die Rolle Mackenzies und Virchows ab-zustellen, wie es in einigen Quellen praktiziert wird. Be-sonders die Primärbehandlung des Leidens und der damit verbundene Zeitverlust verdient besondere Beachtung. Zudem muss das Geschehen im Kontext der damaligen medizinischen und technischen Möglichkeiten gesehen werden, in einer Zeit, als die HNO-Heilkunde noch in den Kinderschuhen steckte, es noch keine Endoskope oder Operationsmikroskope gab und als über die Natur bösartiger Geschwülste noch viel Unklarheit herrschte. Wurde bisher der Engländer Sir Morell Mackenzie als alleinverantwortlich für den frühen Tod des Kaisers an Kehlkopfkrebs angesprochen, so ergibt sich bei kritischer Durchsicht der Augenzeugenberichte und unter Würdigung der medizinischen Aspekte ein differenzierteres Bild. Danach kann als gesichert gelten, dass ein anderer Arzt, nämlich Professor Gerhardt, als Hauptschuldiger angesehen werden muss.