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Parcours peu banal que celui de Jean Vautrin : à quarante ans, jugeant ses films avec sévérité, ce cinéaste, naguère assistant de Rossellini, se tourne vers l'écriture et troque son patronyme - Jean Herman - pour celui d'un personnage balzacien. Quinze ans plus tard, le prix Goncourt viendra consacrer cette deuxième vie.Jean Vautrin s'est prêté au jeu de l'entretien avec Noël Simsolo. L'écrivain y évoque son enfance sous l'Occupation, ses lectures initiatiques, la découverte de l'Inde et son travail avec Satyajit Ray, puis Rivette, Rossellini, Minnelli et Zanuck sur Le Jour le plus long. Après une période nouvelle vague et Cahiers du cinéma, Vautrin connaît le succès commercial en travaillant pour Alain Delon, alors au sommet de sa popularité. À l'aube des années 1970, une grave crise morale l'oriente vers la littérature, tout d'abord par le biais de l'écriture scénaristique (pour Audiard), puis de la Série noire et du " néo-polar ", dont il est l'un des créateurs. La découverte de Raymond Carver achève sa conversion, couronnée en 1989 par le prix Goncourt - l'occasion d'observer la faune des éditeurs, écrivains et critiques. Au fil de ces entretiens, Jean Vautrin évoque bien d'autres sujets qui lui tiennent à coeur : le vin, le combat écologique, l'antimilitarisme, la bande dessinée (les quatre tomes du Cri du peuple de Tardi, dont il est le scénariste), ses engagements politiques, où encore la lutte contre l'autisme.