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La pandémie avait suscité l’espoir d’un changement de paradigme. Le Fonds monétaire international et la Banque mondiale y ont plutôt vu l’occasion de libéraliser plus avant les économies. Les aides d’urgence consenties par le premier en réponse au Covid engagent les pays emprunteurs dans une nouvelle décennie d’austérité – réduction de la masse salariale publique, baisse des subventions aux biens essentiels, hausse des taxes sur la consommation, etc. – aux effets sociaux dramatiques. Les programmes de «financement du développement» poussés par la Banque mondiale à la faveur de la crise promeuvent une «bonne gouvernance», synonyme d’amélioration du «climat des affaires» au bénéfice des entreprises transnationales. Les émeutes de la faim, la crise asiatique et la progression des donateurs émergents avaient pourtant délégitimé le conditionnement des aides financières ou des allègements de dette à l’adoption de réformes économiques libérales. La conditionnalité avait été «révisée», subordonnée à l’«appropriation» par le pays bénéficiaire, mise au service des objectifs de développement durable. Or, dans les faits, cette ingérence subsiste à travers un ensemble de dispositifs véhiculant l’influence des bailleurs de fonds en matière de politique économique et budgétaire, au détriment de la souveraineté des pays concernés et des investissements publics considérables qu’exigent la lutte contre les inégalités et la catastrophe environnementale.