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Se habla de «complot» porque así fue nombrado, aireado y aceptada entonces su existencia. Sabemos de los sucesos de Tablada fundamentalmente por la prensa y la obra de Blas Infante escrita en unos escasos cuarenta días. El notario inicia su redacción un día después de la sesión parlamentaria donde se aborda por vez primera los acontecimientos, con motivo de la ratificación de las actas electorales y la proclamación de los candidatos. Presumiblemente, lo realiza muy indignado. Todo indica que refuerza la parquedad de las palabras empleadas por el diputado Ramón Franco en su respuesta a las cuatro intervenciones que ratifican la versión oficial del Gobierno. Pero necesitábamos saber más para desentrañar un bulo estereotipado por frecuente el cual, superando el recinto militar, poseen una aguda y razonable interpretación poliédrica. La hipótesis que desarrolla el autor es la posible existencia de un complot en sentido contrario al contemplado tradicionalmente, un pulso promovido desde sectores pro monárquicos y anti Ramón Franco, dentro del sector militar aéreo y como puja de poder entre miembros del ejecutivo provisional, así como de la coalición republicano socialista que lo sustenta. Una venganza profesional dentro del sector castrense al cambio de régimen y ante el máximo responsable del arma de aviación. Un abierto desaire, aun prudente por pacífico, a la República que nace. Un desprecio a la identidad y al autogobierno político de Andalucía. Un temor a una España federal. Una inquietud desde la coalición republicano-socialista ante la incógnita por los resultados de las constituyentes. En definitiva, una limitación a las posibilidades de cambio social, económico y político del nuevo régimen tricolor. Una transición más que una ruptura.