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Wer das Volk Israel antastet, tastet Gottes Augapfel an, so die Heilige Schrift. Sie gibt so der Frage nach der Einzigkeit der Shoah eine theologische Tiefendimension: die Vernichtung der Juden - ein Attentat gegen Gott. Das Schweigen Gottes, die Trauer um die Toten und das Ringen um eine Sprache, die dem unaussprechlichen Grauen entspricht, bestimmen die Dichtung von Rose Auslander, Paul Celan und Hilde Domin. Hier treten die Fragen deutlich hervor, auf die eine Theologie nach Auschwitz eingehen muss: Wie kann verantwortlich von Gottes Macht, wie von seiner Liebe gesprochen werden? In welchem Verhaltnis steht die Passion des Gekreuzigten zum Leiden der judischen Opfer, aber auch zu den Verbrechen der Tater? Wie kann die geradezu wahnwitzige Hoffnung auf Versohnung aufrechterhalten werden?