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La question kurde – en Turquie, Iran, Irak, Syrie – est au cœur d'enjeux politiques et sociaux d'une actualité brûlante et violente. Pourtant, le PKK (Parti des travailleurs kurdes) et ses organisations sœurs restent très méconnus. Fondé en 1978, dirigé par son chef emprisonné Abdullah Öcalan, ce parti radical a été comparé aux Zapatistes du Chiapas et à d'autres mouvements sud-américains. Cette enquête informée analyse la/les révolution(s) en cours au Kurdistan. Depuis quelques années, le PKK turc et le PYD syrien sont au centre de l'attention des gauches mondiales. Certains observateurs, comme l'anthropologue David Graeber, l'historien Immanuel Wallerstein ou le linguiste Noam Chomsky les considèrent comme une des rares lueurs d'espoir dans le chaos moyen-oriental et comparent leurs expérimentations politiques à celles des zapatistes du Chiapas. En effet, ces organisations apparaissent comme un point de convergence de nombreuses luttes " nouvelles " : le combat militaire contre l'" obscurantisme " de Daech ; une forme avancée de féminisme contre le " patriarcat " islamiste et traditionaliste ; une volonté de promouvoir un " confédéralisme démocratique " postmarxiste et libertaire ; ou encore une manière renouvelée de contester le capitalisme et le culte de la croissance, au profit d'une écologie radicale. Pourtant, le PKK et ses organisations soeurs restent très méconnus. Fondé en 1978 et dirigé par son chef Abdullah Öcalan, emprisonné depuis 1999, ce parti radical, d'abord indépendantiste puis autonomiste, revendique s'être défait de ses oripeaux marxistes-léninistes pour développer une forme d'autogouvernement proche de la conception municipaliste de l'anarchiste américain Murray Bookchin. Qu'en est-il en vérité ? C'est ce que révèle ce livre essentiel – accessible, informé et distancié – sur la " révolution " en cours au Kurdistan.