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Le suicide constitue la deuxième cause de décès pour les 15-24 ans, et ce malgré une diminution des taux de suicide d’environ 15 % depuis 1985. Ainsi, actuellement, les jeunes meurent plus par suicide en France qu’en Italie ou en Grèce, aux Pays-Bas, au Portugal ou au Royaume-Uni. Quant à la morbidité suicidaire (tentative de suicide non suivie de décès), le problème persiste et s'aggrave même. Là encore, la France n’est pas en bonne position. Une enquête européenne a montré qu’entre 1989 et 1992 l'incidence a diminué en moyenne de 18 % pour les garçons et de 11 % pour les filles de 15 à 24 ans, sauf en France où elle a augmenté. Si les facteurs de risque de tentative de suicide sont maintenant mieux connus, le mode de prise en charge hospitalière et le devenir des suicidants hospitalisés restent très peu explorés. Face à ce constat, la Fondation de France a pris l’initiative, en 1997, de lancer l’enquête « Jeunes Suicidants à l’Hôpital ». Réalisée sous la direction de Marie Choquet, épidémiologiste, directeur de recherche à l'Inserm, et Virginie Granboulan, pédopsychiatre, praticien hospitalier au Centre hospitalier intercommunal de Créteil, l'enquête a été organisée, entre 1997 et 1999, dans neuf centres hospitaliers, auprès de 582 jeunes, hospitalisés après un tentative de suicide, et de leur famille. Elle visait à explorer les questions suivantes : Qui sont ces jeunes suicidants hospitalisés ? Quelles sont leurs caractéristiques sociales, familiales et psychologiques ? Comment vivent-ils au quotidien ? Comment sont-ils pris en charge à l’hôpital pour leur tentative de suicide? Que pensent les jeunes et leurs parents de cette prise en charge ? Que sont devenus ces jeunes un an plus tard ? Quelles différences y a-t-il selon le sexe et l'âge ? Autant de thèmes, analysés à partir de cette enquête, qui permettent de mieux connaître ces jeunes « en mal de vivre » et surtout de bousculer bien des idées reçues les concernant...