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Marie Simon, Pionierin der freiwilligen Krankenpflege und Mitgründerin des Roten Kreuzes in Sachsen, organisiert von August 1870 bis März 1871 die freiwillige Krankenpflege auf den Schlachtfeldern des Deutsch- Französischen Krieges. Ihre Erfahrungen hält sie in Briefen und einem Tagebuch fest. Unmittelbar unter dem Eindruck ihrer Erlebnisse schreibt sie nachts auf, was sie tagsüber erlebt hat und reflektiert das Geschehen. Adressaten ihrer Briefe sind ihre Freundin Marie und Kolleginnen aus dem Direktorium des Albertvereins in Dresden. Beim Schreiben denkt sie nicht an eine spätere Veröffentlichung; ihre Schilderungen sind deshalb frisch und lebendig, ihre Wertungen stark und ohne diplomatische Rücksichtnahme. Sie schreibt selbstkritisch in der steten Sorge, nicht genug Kraft zu haben und zu versagen; immer wieder hat sie Zweifel, ob sie das Richtige tut. Die Parallelen zur heutigen humanitären Hilfe sind nicht zu übersehen. Zum besseren Verständnis sind dem Originaltext von Marie Simon in dieser Ausgabe Berichte von Zeitgenossen, eine Einleitung und Fußnoten beigefügt