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Volker Metzler untersucht die bislang kaum beachtete, jedoch fuhrende Institution der deutschen evangelischen Orientmissionen und Orienthilfswerke im Zeitraum von 1916 bis 1933. Dabei kommt in Gestalt der Orient- und Islamkommission eine Dachorganisation in den Blick, deren leitende Akteure eine enge Bindung an die Regierungspolitik verfolgten. So beforderte man etwa im Zusammenhang mit der "Armenischen Frage" die Kriegsinteressen Deutschlands und begrenzte den Einfluss kritischer Stimmen wie derjenigen von Johannes Lepsius. Indem mithilfe von bisher unveroffentlichtem Archivmaterial die Arbeitsgeschichte dieser Kommission hinsichtlich des Verhaltnisses von Mission und (Staats-)Macht analysiert wird, liefert diese nicht nur neue Erkenntnisse zu den Volkermorden im Osmanischen Reich zur Zeit des Ersten Weltkriegs. Auch allgemeine Entwicklungen, die zu einer Annaherung der deutschen Mission an die Missionskreise der Entente nach dem Krieg fuhrten, konnen anhand fuhrender Funktionare wie Karl T. Axendfeld, Julius Richter oder Martin Schlunk veranschaulicht werden. Das dabei vorausgesetzte Beziehungsnetzwerk zwischen Mission und Staatsmacht zeichnete in nationalsozialistischer Zeit ausserdem fur die Gleichschaltung eines deutschen Orienthilfswerks verantwortlich, dessen armenischer Vorsitzender Armenag S. Baronigian Deutschland daraufhin zu verlassen hatte. Weitergehende Vereinheitlichungsbemuhungen schlugen dagegen fehl; die von der Missionsspitze geforderte Transformation der Kommission in ein festes Orient-Werk misslang. Vor diesem Hintergrund schliesst die Darstellung mit grundsatzlichen Uberlegungen zum Verhaltnis von Mission, Person(en) und Macht.