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La collation du titre de docteur honoris causa n'est pas un acte anodin, qui plus est, lorsqu'il est accordé, en janvier 1958, par une instance de l'Université catholique de Louvain (UCL) au chancelier Konrad Adenauer et à Robert Schuman. À cette date, Louvain avait à peine pansé ses plaies de la Seconde Guerre mondiale, qui avaient elles-mêmes ravivé celles causées par la Première. En honorant le chef de la puissance considérée comme source de ce double martyre, les autorités universitaires prenaient des risques, bien qu'atténués quelque peu par la présence du Français Schuman, et témoignaient de leur espoir dans un « avenir meilleur ». Au-delà de l'aspect protocolaire, cet acte est donc chargé de fortes connotations symboliques et met en scène des ressorts profonds où se mêlent politique et religion. Pour l'Université catholique de Louvain, c'était en quelque sorte mettre l'Europe naissante sous la bannière de l'Église et de sa vertu chrétienne, le pardon, dans des temps où l'expansion du communisme menaçait l'Occident. Ce volume, fruit d'un colloque organisé à l'UCL en février 2008, offre dans ses diverses communications une évocation de la célébration louvaniste, mais aussi, et surtout, une réflexion sur l'Europe d'alors et ses enjeux, susceptible de nourrir le questionnement sur l'Europe actuelle.