Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Why are there so many nature metaphors - clouds, rivers, streams, viruses, and bugs - in the language of the internet? Why do we adorn our screens with exotic images of forests, waterfalls, animals and beaches? In Technobiophilia: Nature and Cyberspace, Sue Thomas interrogates the prevalence online of nature-derived metaphors and imagery and comes to a surprising conclusion. The root of this trend, she believes, lies in biophilia, defined by biologist E.O. Wilson as 'the innate attraction to life and lifelike processes'. In this wide-ranging transdisciplinary study she explores the strong thread of biophilia which runs through our online lives, a phenomenon she calls 'technobiophilia', or, the 'innate attraction to life and lifelike processes as they appear in technology'. The restorative qualities of biophilia can alleviate mental fatigue and enhance our capacity for directed attention, soothing our connected minds and easing our relationship with computers.
Technobiophilia: Nature and Cyberspace offers new insights on what is commonly known as 'work-life balance'. It explores ways to make our peace with technology-induced anxiety and achieve a 'tech-nature balance' through practical experiments designed to enhance our digital lives indoors, outdoors, and online.
The book draws on a long history of literature on nature and technology and breaks new ground as the first to link the two. Its accessible style will attract the general reader, whilst the clear definition of key terms and concepts throughout should appeal to undergraduates and postgraduates of new media and communication studies, internet studies, environmental psychology, and human-computer interaction. www.technobiophilia.com