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Les États généraux de la bioéthique se sont ouverts le 18 janvier 2018. Décider que la concertation ne devait pas se limiter à la révision de la loi relative à la bioéthique du 7 juillet 2011, c’était affirmer qu’une certaine bioéthique d’hier est révolue.
D’autres enjeux bioéthiques ont fait irruption sur la scène publique et constituent les nouveaux territoires et les nouveaux terrains de la bioéthique. Si les neurosciences suscitaient déjà des réflexions portant sur de possibles interventions sur le cerveau, pour « réparer, transformer et augmenter », désormais l’intelligence artificielle, l’usage des données de masse, la robotisation nous imposent la responsabilité de renouveler notre pensée de la bioéthique.
Est-il envisageable de poser un cadre législatif à des innovations disruptives qui bouleversent nos conceptions de l’environnement, du vivant, de l’humain, de notre rapport à l’autre et au monde ? Est-on capable de concevoir un humanisme pour temps d’artificialisation, de numérisation ou de vitrification de notre humanité ? Quelles valeurs et quels critères opposer à l’enchantement d’une promesse d’invulnérabilité et de dépassement d’une condition humaine, considérée par certains indigne, voire révocable ??