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« Un jour, j’ai réalisé que la Yougoslavie n’existait plus, détruite par les nationalismes, le génocide, la guerre. Que l’Iran n’avait échappé au Shah que pour tomber aux mains de Khomeiny et des mollahs, que ses frontières étaient fermées. Que l’Afghanistan était envahi, déchiré, écrasé, et finalement soumis à la dictature fanatique et misogyne des talibans. Plus d’un quart de siècle après, j’ai alors décidé de faire le récit de ce voyage, pour laisser le témoignage d’une époque où cette route était encore un espace libre, malgré les armées et les polices, un espace d’aventure ouvert à la porte de l’Europe, un peu plus à l’est. Je voulus faire ce récit le jour où je réalisai qu’on ne pouvait plus faire ce voyage ». C’est ainsi qu’Alain Paris explique sa décision d’écrire le récit du long périple qui l’a conduit jusqu’en Afghanistan en 1970, à partir de notes prises à l’époque dans son carnet de route. À sa mort en 2017, son manuscrit était achevé. Le projet d’édition a été mené à son terme par sa femme, avec le concours de ses enfants et de ses amis.