La Vendée est riche en tournages de cinéma, et les références ne manquent pas, permettant même de remonter aux sources balbutiantes du 7e Art : des frères Lumière et l'ère du muet aux Vacances du Petit Nicolas, tourné en 2013 à Noirmoutier, en passant par La terre qui meurt (1925), avec Madeleine Renaud à Sallertaine. La ferme du pendu (1945) à Pouzauges, avec Charles Vanel et Bourvil à ses débuts. Les vieux de la vieille (1960) en pays apremontais et vicomtois avec le mythique trio de pépés anars Gabin-Fresnay-Noël...
Et puis Bernard Menez Du côté d'Orouet en 1969. Jean Richard en Maigret à Fontenay-le-Comte, Un flic de Melville à Saint-Jean-de-Monts et Challans (1971), César et Rosalie de Sautet à Noirmoutier (1972). Sans oublier L'arbre, la maire et la Médiathèque, d'Eric Rhomer du côté de Saint-Juire-Champgillon (1992) : Gilbert Prouteau, le natif de Nesmy. réalisateur de Dieu a choisi Paris, avec Belmondo : Florelle et Gaby Morlay, ces deux Vendéennes.
Ce dictionnaire du 7e Art en Vendée n'est peut-être pas exhaustif, mais pas loin avec ses tournages mythiques avec des stars, mais aussi ses coups de coeur du côté court-métrage ou cinéma d'essai ou exploratoire... Des anecdotes aussi, qui peuvent relier les seigneurs du 7e Art à cette terre de Vendée, comme Harry Baur, Jean-Jacques Annaud. Maurice Pialat, et Mylène Demongeot. pour en citer quelques-uns.